Et si un homme mangent [de] la chose sainte, non involontairement, ... Soit ne sachant pas que c'est une chose sainte, ni l'offrande de soulèvement, ni toute chose de ce genre; ou sinon ignorant la punition d'une telle action, comme Gersom observe; Et cela doit être compris de tout homme qui n'était pas un prêtre, ni de la famille du prêtre, même d'une israélite commune; Donc, la Targum de Jonathan, un homme d'Israël, ou d'une israélite, l'un des gens ordinaires:

Ensuite, il en mettra une cinquième partie à cela; Une cinquième partie de la valeur de ce qu'il a mangé, à un équivalent pour l'ensemble, c'est-à-dire qu'il paiera la valeur totale pour ce qu'il a mangé et une cinquième partie en outre:

et doit donner le curé au prêtre avec la Sainte Thing; Le sens est qu'il doit donner la cinquième partie au prêtre, avec l'équivalent pour ce qu'il a mangé; car il ne pouvait pas donner la chose sainte elle-même, mais une indemnité pour cela; Selon Gersom, il devait donner le principal au prêtre dont il a mangé le saint, et la cinquième partie qu'il pourrait donner à quel prêtre il le ferait. Le canon juif, en ce qui concerne cette affaire, se déroule ainsi; Il mange ignoramment l'offre de soulèvement paie le principal et la cinquième partie; et le même, soit celui qui mange, soit des boissons, soit des oignons; Et si l'offre de soulèvement soit propre ou impure, il verse le cinquième et le cinquième de la cinquième; et il ne paie pas l'offrande de soulèvement mais de choses communes, à juste titre ordonnée, et ils deviennent un offrand, et la compensation de celui-ci; Et si le prêtre pardonnerait, il ne peut pas p.

p mal. Trumot, c. 6. Sect. 1.

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