Y a-t-il encore les trésors de méchanceté la maison des méchants? .... Il y en a; Ils continuent là-bas. C'est la voix du Seigneur par le prophète et la langue de la canne de correction à entendre, exposant les péchés du peuple, pour lesquels le Seigneur avait une controverse avec eux; en particulier leur mammon d'injustice, la vaste richesse, les richesses et les trésors, rassemblés par des voies et des moyens très méchants et illégaux; Et qui, au lieu de les restaurer aux personnes qu'ils avaient fraudées, ils les ont conservés dans leurs maisons, malgré les reproches des prophètes et les corrections du Tout-Puissant. Certains rendent-le, "n'y a-t-il pas de feu?" c. K c'est-à-dire dans la maison des méchants, à cause des trésors de méchanceté, ce qui les consomme; Mais Gusssetius l'interprète des fornications et des adultères. D'autres le rendent, "Y a-t-il un homme?" c. M Un homme honorable, comme Aben Ezra, qui continue dans son iniquité, après que la voix du Seigneur crie à la ville; Mais Abendana l'interprète lui-même du prophète lui-même, continuant de reproduire les méchants pour leurs trésors de méchanceté et leurs autres péchés;

et la mesure de la mesure [qui est] abominable? ou "l'éphéen de l'onzile provoquant à la colère" n; c'est-à-dire une mesure déficiente, moins qu'elle ne devrait l'être; L'Ephah était une mesure sèche et elle a été faite petite, comme dans Amos 8: 5 ; et tenu moins qu'il ne devrait; Et cela a apporté de l'enceinte et de la pauvreté sur ceux à qui ils sont vendus par elle, ainsi que de la ruine sur eux-mêmes dans la question; pour de telles pratiques car ils étaient abominables et détestables à Dieu; Ils ont agité sa colère et apportaient destruction sur ceux qui les utilisaient. Le tagum est,.

"Faux mesures qui apportent une malédiction. ''.

K עוד האשש μη πυρ, septembre "Adhuc Ignis", V. L. Joseph Kimchi. l ebr. Commenter. p. 352. M "Adhuc Num Vir Domo", Montanus; "Adhuc Suntne Viro Domus improbi", certains dans Drusius. Alors R. Sol. Urbin, fol. 37. 2. N ואיפפ רזרן זזומה "et EPHAH macilentiae indignatio A deo Proventura", Tarnovius; "Detestatus Domino", Pagninus; "Et Ephah Maciei Abominatione Digna", Burkiius.

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