(16) Que celui qui a volé ne vole plus, mais qu'il travaille plutôt, travaillant de [ses] mains ce qui est (m) bon, afin qu'il doive en donner à celui qui en a besoin.

(16) Il descend du cœur aux mains, condamnant le vol : et parce que les hommes qui se livrent à cette méchanceté prétendent souvent être pauvres, il montre que le travail est un bon remède contre la pauvreté, que Dieu bénit de telle manière que ceux qui travaillent ont toujours un surplus pour aider les autres. Et c'est donc loin d'être le cas qu'elles soient obligées de voler les biens d'autrui.

(m) En travaillant dans des choses qui sont saintes et profitables à son prochain.

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