(5) Bien que ma maison ne le soit pas avec Dieu ; pourtant il a fait avec moi une alliance éternelle, ordonnée en toutes choses et sûre; car c'est là tout mon salut et tout mon désir, bien qu'il ne le fasse pas croître.

Combien était-il naturel et approprié pour David, en parlant de JÉSUS et de son salut, de faire une transition immédiate vers son propre intérêt personnel pour les deux ; et pour se consoler de cette délicieuse assurance, au milieu de toutes les circonstances extérieures qui s'étaient produites au cours de la vie pour l'affliger. Lecteur! comme ce verset de David a réconforté des milliers de personnes, et continuera de le faire jusqu'à ce que le temps ne soit plus, je voudrais que vous ne le passiez pas en revue à la hâte, mais examinez ses diverses propriétés, en priant pour que le SEIGNEUR puisse accorde-toi d'adopter (si c'est sa volonté bénie) la même assurance précieuse sur les mêmes motifs précieux.

Observez la confession que David fait de ses calamités personnelles. Bien que, (dit-il) ma maison ne soit pas ainsi avec DIEU. Pauvre homme! quelle scène de péché et de mal les murs de sa maison ont-ils fournis à ses enfants sans grâce. Sans parler des grandes fausses couches qu'il s'était lui-même faites ; sa journée était une journée de nuages, du matin jusqu'au soir. Combien de ses enfants sont morts dans leurs péchés ! Mais que dit David dans ces circonstances difficiles ? Bien que ma maison ne le soit pas avec DIEU ; mais il a fait avec moi une alliance éternelle.

Comme s'il avait dit, JÉSUS est à moi, bien qu'il ne soit pas celui de mes enfants. DIEU m'a donné JÉSUS, et cela suffit ; car en lui j'ai tout. Il vaut mieux pour moi que mille fils. Douce consolation et un glorieux soulagement, sous toutes les afflictions. Mais tout n'y est pas inclus. L'alliance dans le sang et la justice de JÉSUS est une alliance éternelle. Il atteint l'éternité. Il est également ordonné en toutes choses, apporte toutes les bénédictions avec lui.

Et c'est sûr : rien ne peut le briser. On peut bien l'appeler les miséricordes sûres de David. Et enfin; David résume tout en déclarant que ce n'est pas seulement tout son salut, mais tout son désir, quoiqu'il le fasse ne pas grandir. Comme s'il avait dit : En JÉSUS ma félicité est si complète, ma rédemption si parfaite, et mes désirs si pleinement exaucés, que je ne trouve plus de place pour rien de plus. C'est tout mon salut, car il ne laisse aucune place à quoi que ce soit d'ajouter : C'est tout mon désir, car je ne puis vouloir de rien à côté. Ici alors je repose mon âme avec toutes ses grandes envies de bonheur. En JÉSUS j'ai tout. Lecteur! que dites-vous de cette conclusion bénie de David !

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