Le triste récit d'une action si détestable, et issue d'une cause si détestable, suffit à faire rougir notre nature dépravée. Qui qui le lit mais doit s'exclamer, Seigneur ! qu'est-ce que l'homme ! Et quand nous lisons les premières ruptures de ce péché le plus contre nature, aux jours de Lot ; regardez-le encore ici; et associez-y ce que dit l'apôtre en ses jours ; comment notre nature doit-elle être humiliée, en voyant cela, parmi les nombreuses tristes conséquences de la chute.

Genèse 19:4 . Mais lecteur ! tournons-nous de cette triste image de notre pauvre nature déchue, et voyons l'autre partie du sujet, bien qu'en effet, en le faisant, nous ne faisons que passer d'une triste histoire à une autre, toutes provenant d'une seule et même source, la misère de l'homme et ruine à cause de la chute. Avec quelle conclusion misérable cette femme a-t-elle mis fin à sa vie, en tombant dans l'adultère et en quittant son mari.

Voici l'évidence de ce que dit l'apôtre, le salaire du péché, c'est la mort. Oh! que toutes ces vues puissent avoir cette influence bénie sur nos cœurs, pour apprécier encore plus cette rédemption inestimable, qui est la seule garantie contre les ruines de la chute ; et rapproche encore nos cœurs de Jésus, qui parle ainsi avec tendresse à son peuple : Israël, tu t'es détruit, mais en moi est ton secours.

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