And if a man smite his servant, or his maid, with a rod, and he die under his hand; he shall be surely punished.

Si un homme frappe son serviteur, ou sa femme de chambre, avec une verge et qu'il meurt ... [ basheebeT (H7626)] - avec la tige. Chez les Israélites, comme chez tous les autres peuples où l'esclavage existait, le propriétaire possède le pouvoir de punir ses serviteurs délinquants. Mais l'exercice de l'autorité absolue risque parfois d'être abusé; et par conséquent, en vue de contrôler l'indulgence d'une passion intempestive, ou des excès d'une sévérité excessive, les maîtres hébreux étaient susceptibles d'être appelés à rendre compte des mauvais traitements de leurs serviteurs; et dans les cas extrêmes, où la mort du serviteur résultait de l'infliction de la verge, son maître se rendait aux yeux de la loi juive désagréable au châtiment. Le montant précis de la punition n'est cependant pas précisé; car puisqu'il ne pouvait y avoir de rétention de la part du maître pour tuer son serviteur, la peine de mort prononcée dans le cas décrit, Exode 21:12, aurait été manifestement injuste. Le type de sanction restait probablement à déterminer, sur enquête judiciaire, selon les principes généraux de la loi. [Mais la phrase naaqom (H5358) yinaaqeem (H5358), 'il faut sûrement se venger,' indique que la punition devait être sévère et en aucun cas remise. Les commentateurs juifs affirment qu'il a été exécuté par l'épée.]

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