Peter saith unto him, Of strangers. Jesus saith unto him, Then are the children free.

Pierre lui dit: Des étrangers - ou "De ceux qui ne sont pas leurs enfants".

Jésus lui dit: Alors les enfants sont libres. Par "les enfants", notre Seigneur ne peut pas ici signifier Lui-même et les Douze ensemble, dans un sens vague de leur proche relation avec Dieu comme leur Père commun. Car d'ailleurs notre Seigneur ne se mêle jamais une seule fois à ses disciples en parlant de leur relation à Dieu, mais garde toujours soigneusement sa relation et la leur à part (voir, par exemple, sur les derniers mots de ce chapitre) - ce serait enseigner le droit des croyants à l'exemption de la redevance exige pour les services sacrés, à la merci de tout ce que Paul enseigne et que Lui-même indique partout. Il ne peut donc se référer ici qu'à Lui-même; en utilisant évidemment le mot «enfants» pour exprimer le principe général observé par les souverains, qui ne prélèvent pas d'impôts sur leurs propres enfants, et ainsi véhiculent de façon plus frappante la vérité concernant sa propre exonération: qd, «Si la famille du souverain est exempte, tu connais l'inférence dans mon cas; ou pour l'exprimer plus nudement que Jésus ne le pensait nécessaire et approprié: «Ceci est une taxe pour soutenir la Maison de Mon Père: En tant que Son Fils, alors, cette taxe n'est pas due par Moi-JE SUIS LIBRE.

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