Faithful are the wounds of a friend; but the kisses of an enemy are deceitful.

Fidèle (marques de vraie gentillesse et pour son vrai bien, Psaume 141:5 ) sont les blessures de (i: e., infligées par) un ami: mais les baisers d'un ennemi sont trompeurs. Ainsi Jérôme, la Vulgate, et Chaldaic; mais Gesenius, en marge, «fréquent», nombreux: car les baisers d'un ennemi, nous avons à peine besoin de le dire, sont trompeurs. Mais l'avertissement dans la version anglaise est nécessaire, car on pourrait oublier que des baisers peuvent être donnés, et pourtant tout le temps être des gages non d'amour, mais de trahison. En revanche, un ennemi ne donne pas toujours beaucoup de baisers: Judas n'en a donné qu'un. Mais ses baisers sont toujours "trompeurs" - littéralement, fades, apaisés [le Niphal, de `aatar (H6280), plaire, prier].

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