Mais vivre elle-même. Ainsi Josèphe lit aussi, Antiquités iv. 8. Mais Philon et la Septante ont, "d'un enfant informe"; et v. 23, "Mais si l'enfant est formé, ( exeikonismenon, animé et organisé) il donnera âme pour âme" ; comme si tout se rapportait à l'enfant, ce que la Vulgate explique de la mère. Détruire la vie de l'un ou l'autre était puni de mort. "Elle qui la première a enseigné l'art d'expulser le tendre f\'9ctus, a mérité de périr par sa propre malice.

" (Ovide) (Calmet) --- Le moment précis où l'âme commence à animer le corps est tellement incertain, que, après la conception, la personne qui provoquerait volontairement une fausse couche, s'exposerait à encourir la culpabilité de meurtre. Josèphe, contre Apion ii., montre comment les Juifs abhorraient une telle méchanceté. Les Romains la punirent de mort. (Haydock) --- Homicidii festinatio est prohibere nasci. (Tertullien, apol.

) Onkelos dit, que « si la mère ne devait pas mourir de l'accident vasculaire cérébral, le coupable devait satisfaire le mari en payant une amende, à payer par le mari, ou par les juges : mais au cas où la mère mourrait, il devrait rendre vie pour la vie :" (Calmet) dans laquelle décision il est d'accord avec la Vulgate. (Haydock) --- L'hébreu est ambigu, "Si la mort ne s'ensuit pas." (Calme)

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