À Titus, mon bien-aimé, (en grec, mon vrai et[3] fils authentique ,... grâce et paix. Dans les copies grecques ordinaires actuelles s'ajoute la miséricorde, que les traducteurs protestants ont suivie ; mais elle est judicieusement omise par le Dr. Wells, comme on ne le trouve pas dans les meilleurs manuscrits ni dans l'édition grecque de saint Jean Chrysostome, ni dans les anciens Pères grecs et latins. (Witham)

[BIBLIOGRAPHIE]

Dilecto filio, grec : gnesio tekno.

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