Alors Juda dit à Tamar, sa belle-fille, reste veuve dans la maison de ton père, où les veuves reviendraient au cas où il n'y aurait pas d'enfants adultes pour s'occuper d'elles, jusqu'à ce que Shéla, mon fils, soit grand. Il ne voulait évidemment pas que le troisième fils se marie si tôt ; car il dit : De peur qu'il ne meure aussi, comme ses frères. Que cela soit dû à une superstition qui considérait Tamar comme une épouse malchanceuse ou simplement à une anxiété paternelle au nom de son seul fils restant, ne peut être déterminé.

Et Tamar alla habiter dans la maison de son père. Elle était parfaitement disposée à faire ce que Juda avait suggéré ; elle lui a donné la déférence que le Quatrième Commandement exige aussi des enfants adultes.

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