Voyons, que cette nuit soit solitaire, ou, plus énergique, « Voyez, cette nuit ! » Qu'il soit stérile, et donc totalement désolé, sans une voix acclamante ; qu'aucune voix joyeuse n'y entre, pas un seul cri jubilatoire comme pour l'heureuse naissance d'un enfant bienvenu.

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