Nos ossements sont dispersés à l'entrée de la tombe, comme lorsqu'on coupe et fend du bois sur la terre, ou, « comme on trace des sillons et ameublit le sol », c'est-à-dire, bien que les ennemis devraient apparemment réussir à prendre le dessus sur le mesure d'allonger les croyants à la porte menant au royaume de la mort, mais ils se relèveraient une fois de plus, comme la semence jaillit du sol préparé pour elle, tout comme elle semble être coupée par le labour.

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