2 Corinthiens 4:7-18

la vie intérieure triomphant de l'affliction

2 Corinthiens 4:7

Peu d'hommes ont été plus conscients de leur faiblesse que l'Apôtre. Le vase de terre était devenu très fissuré et rayé, mais le trésor céleste était intact, comme dans le cas de Gédéon, lorsque la cruche a été brisée, la lanterne a brillé. Paul confesse ici qu'il a été troublé, perplexe, persécuté et abattu, portant toujours les cicatrices de Jésus et étant perpétuellement livré à la mort.

Mais il accepta avec reconnaissance tous ces handicaps parce qu'il savait qu'ils donnaient à Jésus de plus grandes opportunités de montrer, à travers lui, sa puissance de résurrection. Avec le déclin quotidien de l'extérieur, vint le renouveau de l'invisible et du spirituel. Ce n'est que dans la mesure où nous nous conformons aux souffrances et à la mort du Christ que nous commençons à réaliser la plénitude de ce qu'il est et de ce qu'il peut être ou faire à travers nous. Notre seule pensée doit toujours être la gloire du Christ dans le salut des autres.

Notez les contrastes de 2 Corinthiens 4:17 . L'affliction est légère, mais la gloire de l'avenir est pleine de béatitude rayonnante et satisfaisante. L'un est transitoire, l'autre éternel. L'un est le prix de l'autre, bien que chacun soit le don de Dieu. La comète qui est allée le plus loin dans l'obscurité extérieure revient au plus près du soleil central.