« Et Abram dit à Lot : « Qu'il n'y ait pas de querelle, je t'en prie, entre moi et toi, et entre mes bergers et tes bergers. Car nous sommes de proches parents. Tout le pays n'est-il pas devant vous ? Séparez-vous, je vous prie, de moi. Si tu prends la main gauche, alors j'irai à droite. Ou si tu prends la main droite, j'irai à gauche ».

La grandeur d'Abram est mise en évidence dans ces paroles. En tant que doyen, et presque certainement chef de la plus grande sous-tribu, il aurait pu revendiquer la préséance. Mais il ne veut aucune rancune entre eux. Il est heureux que Lot choisisse la voie à suivre et ensuite il prendra l'autre. Il n'y aura pas de rancune. Ils sont toujours liés en tant que proches parents, mais ils doivent tenir compte des faits de la situation. Il est donc hélas nécessaire qu'ils se séparent. Abram fait confiance à Yahweh pour s'assurer qu'il finira au bon endroit.

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