« Et il lui dit : « Mon seigneur sait que les enfants sont en bas âge, et que les troupeaux et les troupeaux avec moi font paître leurs petits, et que s'ils les surchargent un jour, tous les troupeaux mourront. Que mon seigneur, je t'en prie, passe devant son serviteur, et j'avancerai lentement au pas du bétail qui est devant moi, et au pas des enfants, jusqu'à ce que je vienne à mon seigneur, à Séir . " '

Nous pouvons en déduire qu'Esaü a invité Jacob à le rejoindre à Séir où il réside actuellement. Cela impliquerait simplement de continuer vers le sud le long de la rive est du Jourdain. Mais Jacob n'a pas l'intention d'aller à Seir immédiatement. Il frémit à l'idée de ce qui pourrait lui arriver là-bas.

Cependant, il y a peut-être plus que cela. C'est très bien de se déplacer protégé par quatre cents hommes, mais les quatre cents hommes doivent être nourris et il ne pouvait guère refuser de quoi, et d'ailleurs, il doit être conscient qu'ils ont peut-être entaché leur réputation auprès des habitants de la atterrir sur leur voyage ici. Il ne voudrait pas être connecté aux yeux des hommes avec leurs actions.

D'ailleurs de tels hommes n'aiment pas rester oisifs, et Esaü encore moins. Il pourrait bientôt regretter ses bonnes intentions, et alors ?

Il souligne donc à quel point le voyage va être lent. (Il avait été un peu plus rapide en fuyant Laban). Il ne retardera pas Esaü qui doit sûrement avoir mieux à faire que de marcher au rythme des bergers. Laissez-le continuer et il le rejoindra à un moment donné à Seir.

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