Ésaïe 35:10

I. "La tristesse et les soupirs s'enfuiront." (1) Le chagrin des maladies corporelles passera. (2) Le chagrin de mourir passera. (3) Le chagrin du deuil passera. (4) Le chagrin de la pauvreté s'enfuira. (5) Les chagrins causés par les péchés des autres s'enfuiront. (6) Les chagrins produits par la peur du mal, par les imaginations sombres et par les espoirs anéantis, s'enfuiront. (7) Les chagrins des illusions et des perturbations mentales de cette vie passeront tous. (8) Les chagrins du péché passeront. (9) L'amertume du cœur s'enfuira.

II. Quand cela sera-t-il ? (1) Ce sera au saint individuel lorsque sa carrière terrestre se terminera. (2) Pour les saints en tant que corps, cela sera réalisé aux temps de la restitution de toutes choses.

III. Par quels signes pouvons-nous être assurés que nos peines s'enfuiront ? (1) Le premier signe est la foi personnelle. (2) Un deuxième signe est la citoyenneté reconnue et avouée dans le royaume du Sauveur. (3) Un troisième signe est la fuite du péché, l'être purifié du péché. (4) Un autre signe est le bon effet présent du chagrin. (5) Un cinquième signe est une espérance vivante, née de la foi espérance, l'enfant des promesses de Dieu l'espérance qui est l'ancre de l'âme.

Lorsque ces cinq signes existent, la foi personnelle en Jésus, la citoyenneté avouée dans son royaume, la fuite du péché, le bon effet présent de la douleur et une espérance vivante, alors nous avons de bonnes raisons de nous attendre à ce que nos peines s'enfuient et que notre les soupirs s'apaiseront à jamais.

S. Martin, Westminster Chapel Pulpit, 2e série, n° 2.

Références : Ésaïe 36:5 . Spurgeon, Sermons, vol. xi., n° 646 ; Ibid., Soir par Soir, p. 283.

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