Psaume 31:5

(avec Luc xxiii., ver. 46, et Actes vii., ver. 59)

I. Considérez les mots comme fournissant le vrai mot d'ordre de la vie. Lorsque nous remettons notre esprit entre les mains de Dieu, trois résultats s'accumulent. (1) Nous abordons les devoirs de la vie à travers une série de considérations les plus élevées, ( a ) Nous ne nous appartenons pas. ( b ) Nous faisons partie d'un grand système. ( c ) Nous sommes des serviteurs, pas des maîtres. ( d ) Les choses qui nous entourent sont sous notre attention sérieuse, sauf pour des raisons de commodité ou d'instruction momentanées.

(2) Nous acceptons les épreuves de la vie avec la patience la plus pleine d'espoir. Ils sont disciplinaires ; ils sont sous contrôle ; ils sont nécessaires. (3) Nous reconnaissons les miséricordes de la vie avec la plus joyeuse reconnaissance.

II. Considérez les mots comme fournissant le vrai mot d'ordre de la mort. Ce mot d'ordre, tel qu'énoncé par Jésus et tel qu'énoncé par Etienne, montre (1) leur croyance en un état d'être actuellement invisible ; (2) leur assurance des limites de la méchanceté humaine. Compte tenu de ces considérations, il y a quatre points d'application pratique. (1) Là où l'esprit est apte à la présence de Dieu, il n'y a pas de peur de la mort.

(2) Tous ceux qui ont vécu dans la foi sont présents avec le Seigneur. (3) Jésus Lui-même sait ce que c'est que de traverser la vallée de l'ombre de la mort. (4) La prière pour entrer parmi les bienheureux peut arriver trop tard.

Parker, Temple de la ville, vol. ii., p. 14 (voir aussi Pulpit Notes, p. 106).

Références : Psaume 31:5 . H. Wace, Christian World Pulpit, vol. xxviii., p. 358 ; Spurgeon, Nuit après nuit, p. 242 ; RW Evans, Parochial Sermons, vol. ii., p. 210. Psaume 31:7 . FD Maurice, Sermons, vol. vi., p. 221.

Continue après la publicité
Continue après la publicité