Fuyez, sauvez vos vies.

La fuite du chrétien

Tel était l'avertissement adressé à Moab par l'Éternel des armées, le Dieu d'Israël. Les Chaldéens étaient sur le point de dévaster le pays des Moabites, châtiment qu'ils méritaient à juste titre pour leurs iniquités et pour leur opposition de longue date au peuple de Dieu. ou, pour utiliser le beau langage du prophète, « Il retient son vent violent au jour du vent d'est.

” Bien que Moab soit puni, ses villes renversées, et le pays dévasté et désolé, ses princes, son peuple et ses prêtres emmenés en captivité, pourtant une occasion est offerte pour qu'au moins un reste s'échappe. « Fuyez, sauvez vos vies et soyez comme la bruyère dans le désert. »

I. De quoi fuir ? En un mot, de tout ce qui éloignerait son cœur de Dieu et mettrait en danger la sécurité de son âme, le chrétien doit fuir - « de tout mal et mal, du péché, du monde, de la chair et des œuvres du diable, de la dureté de cœur et du mépris de la Parole et du commandement de Dieu.

II. Pour quoi devons-nous fuir? La vie de votre âme est concernée ; et à moins que vous ne fuyiez ce qui se dresse sur votre chemin vers Dieu, et bloquez votre retour vers Lui, la colère de Dieu vous atteindra assurément, et vous deviendrez la proie de vos ennemis, de ceux qui cherchent votre vie. C'est pour la gloire, l'honneur et l'immortalité que nous devons fuir, des bénédictions d'une valeur infinie, des prix au-delà de tout prix, voire, bien au-delà de la puissance de la langue humaine pour dire leur valeur inestimable ; nous devons fuir pour la faveur de Dieu, le pardon de nos péchés, la valeur de nos âmes, l'amour et la gloire du Christ, et la beauté et le bonheur de la sainteté. Et nous devons hâter notre fuite, car le temps est court et la mort avance.

III. Où fuir ? « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle ; et nous croyons », &c. Telle était la déclaration de Simon Pierre. Telle est encore la confession du peuple de Dieu. Vers le Seigneur Jésus-Christ, et Lui crucifié, le pécheur doit fuir. Il doit aller comme il est, et « il aime la bruyère dans le désert », dépourvu de fruit ou de valeur, digne uniquement de combustible, et chercher à se greffer dans la vigne vivante. Car Moab, pouvons-nous observer, n'a reçu l'ordre de « fuir ». Tout ce qui s'opposerait à leur progrès devrait être mis de côté. ( CA Maginn, M.A. )

Fuyez pour votre vie

I. D'où vous devez fuir.

II. où tu dois fuir.

III. Comment allez-vous fuir.

IV. Quand tu dois fuir

V. Pourquoi devez-vous fuir. ( H. Macmillan, D.D. )

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