Et quand nous avons fait fumer de l'encens à la reine des cieux et lui avons versé des libations, avons-nous fait des gâteaux pour l'adorer, et avons-nous fait des libations pour elle, sans nos hommes ?

Ver. 19. Et quand nous avons fait brûler de l'encens à la reine des cieux. Ainsi, les papistes appellent aussi la Vierge Marie et l'idolâtrent, comme le mot ici rendu pour l'adorer signifie proprement : Idoli reiectitii appellationem in eam transferentes.

Avons-nous fait ses gâteaux sans nos hommes?] c'est-à-dire, sans la confidentialité et l'approbation de nos maris. Mais est-ce une excuse suffisante ? Ne faut-il pas obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes ? Une femme ne doit pas obéir aveuglement à son mari comme le prescrit Plutarque, lorsqu'il impose comme loi du mariage à la femme de reconnaître et d'adorer les mêmes dieux, et aucun autre, mais ceux que son mari honore et considère comme des dieux. . une

un Plutarque. Morale., 318.

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