Quelle [est] ma force, que je devrais espérer ? et quelle [est] ma fin, que je devrais prolonger ma vie?

Ver. 11. Quelle est ma force, que je devrais espérer ? ] qd Tu m'as dit, ô Eliphaz, que si j'encadre un comportement patient et pacifique sous le châtiment de Dieu, j'irai dans ma tombe dans une bonne vieillesse, etc., mais, hélas, il est maintenant plus que temps avec moi d'ailleurs : "mon souffle est corrompu, mes jours sont éteints, les tombeaux sont prêts pour moi", Job 17:1 .

Si j'étais aussi jeune et vigoureux que jamais, on pourrait espérer certaines des choses que vous m'avez promises ; mais, hélas, la carte de l'âge est figurée sur mon front, les calendriers de la mort apparaissent dans les sillons de mon visage, outre mes nombreux bobos et maladies qui, s'ils ne durent qu'un temps, me tueront certainement.

Et ce qui est à moi fin ] -à- dire la dernière partie de ma vie, ce qui est autre , mais que des problèmes et la douleur? Voyez ceci élégamment exposé par Salomon, Ecclésiaste 12:2,4 , &c.

Que je devrais prolonger ma vie ? ] Que je devrais désirer que ma vie soit prolongée ou que j'y aille ? Que ce soit plutôt mon souci, avec Varron, ut sarcinas colligam antequam proficiscar e vita, d'être prêt pour la mort, qui semble si prête pour moi (De re Rust. lib. 1, cap. 1).

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