La langue de l'enfant qui tète s'attache au palais de sa bouche pour la soif : les jeunes enfants demandent du pain, [et] personne ne le leur rompt.

Ver. 4. La langue de l'enfant qui tète se fend. ] Par manque de sucer. C'était un miracle qui est enregistré de la vieille femme de Bolton, dans le Lancashire, qui a pris un pauvre enfant qui pleurait au sein de sa mère décédée - tué, parmi tant d'autres, par le parti du prince Rupert - et le lui a confié propres seins secs, qui n'avaient pas tété depuis plus de vingt ans auparavant, exprès pour les calmer, avaient du lait venu le nourrir, à l'admiration et à l'étonnement de tous les spectateurs.

Ceci et un autre exemple similaire de la bonne providence de Dieu pour le soulagement des petits que leurs mères ne pouvaient pas soulager, peuvent être lus dans le « Miroir pour les saints et les pécheurs » de M. Clark. 3, fol. 495, 507.

Et personne ne le leur brise. ] Soit les parents ne l'avaient pas pour eux, soit n'avaient pas le cœur de s'en séparer.

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