Et Azor engendra Sadoc ; et Sadoc engendra Achim ; et Achim engendra Eliud ;

Ver. 14. Et Azor engendra Sadoc et Sadoc engendra Achim . Tant de misères qu'ils avaient, l'une dans le cou de l'autre, qu'il leur restait peu de liberté d'écrire ; bien que je ne doute pas que la postérité de David ait été alors soigneusement observée par tous ceux qui attendaient la consolation d'Israël.

Mais parmi les Juifs, depuis l'époque de notre Sauveur, après le scellement du Talmud de Babylone, c'est-à-dire après l'an 500 du Christ à l'an 1000, il n'y avait rien ou peu d'écrit, en raison des graves calamités qui s'abattaient sur eux. .

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