Béni [est] l'homme dont la force [est] en toi; dans le cœur de qui [sont] les voies [d'eux].

Ver. 5. Béni soit l'homme dont la force est en toi ] c'est-à-dire qui est permis par toi, tant dans le corps que dans l'esprit, de venir du lieu de sa demeure aux fêtes solennelles.

Dans le cœur de qui sont leurs voies ] Ici l'ancienne traduction, Dans le cœur de qui sont tes voies, est bien meilleure, c'est-à - dire qu'il amène son corps aux ordonnances, ainsi il a tes voies ou lois gravées dans son cœur.

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