7-16 De simples vérités sur la brièveté et la vanité de la vie de l'homme, et la certitude de la mort, nous font du bien, quand nous pensons et parlons d'eux avec application à nous-mêmes. Mourir n'est fait qu'une fois, et donc il fallait bien le faire. Une erreur ici est passée à la récupération. D'autres nuages ​​surgissent, mais le même nuage ne revient jamais: ainsi une nouvelle génération d'hommes est soulevée, mais l'ancienne génération disparaît. Les saints glorifiés ne retourneront plus aux soucis et aux peines de leurs maisons; ni condamné les pécheurs aux joies et aux plaisirs de leurs maisons. Cela nous concerne pour assurer un meilleur endroit quand nous mourrons. De ces raisons, Job aurait pu tirer une meilleure conclusion que celle-ci, je me plaindrai. Lorsque nous n'avons que quelques respirations à tirer, nous devons les consacrer aux respirations saintes et gracieuses de la foi et de la prière; pas dans les respirations bruyantes et nocives du péché et de la corruption. Nous avons beaucoup de raisons de prier, afin que Celui qui garde Israël, et qui ne sommeille ni ne dort, puisse nous garder quand nous dormons et dormons. Job aspire à se reposer dans sa tombe. C'était sans doute son infirmité; car, bien qu'un homme bon choisisse la mort plutôt que le péché, il doit cependant se contenter de vivre aussi longtemps que Dieu le veut, car la vie est notre occasion de le glorifier et de nous préparer pour le ciel.

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