1-13 Les offenses ici notées sont: 1. Un homme cache la vérité, quand il a prêté serment comme témoin de dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité. Si, dans un tel cas, par crainte d'offenser quelqu'un qui a été son ami ou peut être son ennemi, un homme refuse de témoigner, ou ne le donne qu'en partie, il portera son iniquité. Et c'est un lourd fardeau qui, si l'on ne prend pas une certaine mesure pour l'éliminer, plongera un homme en enfer. Que tous ceux qui sont appelés à tout moment à être des témoins, pensent à cette loi, soient libres et ouverts dans leurs témoignages, et prenons garde à la prévarication. Un serment du Seigneur est une chose sacrée, à ne pas négliger. 2. Un homme touche tout ce qui était cérémonieusement impur. Bien que le fait de toucher la chose impure ne le rende que cérémonieusement souillé, mais négliger de se laver selon la loi, était soit de l'insouciance, soit du mépris, et contractait une culpabilité morale. Dès que Dieu, par son Esprit, convainc nos consciences de tout péché ou devoir, nous devons suivre la conviction, n'ayant pas honte de reconnaître notre erreur antérieure. 3. Rash jurant qu'un homme fera ou non une telle chose. Comme si l'exécution de son serment par la suite se révélait illégale, ou ce qui ne peut être fait. La sagesse et la vigilance au préalable éviteraient ces difficultés. Dans ces cas, le délinquant doit confesser son péché et apporter son offrande; mais l'offrande ne fut acceptée que si elle était accompagnée de confession et d'une humble prière de pardon. La confession doit être particulière; qu'il a péché dans cette chose. La tromperie réside dans les généraux; beaucoup reconnaîtront qu'ils ont péché, car tous doivent le posséder; mais leurs péchés en un particulier, ils ne sont pas disposés à permettre. La manière d'être assuré du pardon et armé contre le péché pour l'avenir est de confesser la vérité exacte. Si certains étaient très pauvres, ils pourraient apporter de la farine, et cela devrait être accepté. Ainsi, les frais de l'offrande pour le péché ont été ramenés plus bas que tout autre, pour enseigner que la pauvreté de personne ne doit jamais barrer la voie à son pardon. Si le pécheur apportait deux colombes, l'une devait être offerte en sacrifice pour le péché et l'autre en holocauste. Nous devons d'abord voir que notre paix soit faite avec Dieu, et ensuite nous pouvons nous attendre à ce que nos services pour sa gloire soient acceptés par lui. Pour montrer la répugnance du péché, la farine, lorsqu'elle est offerte, ne doit pas être rendue reconnaissante au goût de l'huile ou à l'odeur de l'encens. Dieu, par ces sacrifices, a réconforté ceux qui avaient offensé, afin qu'ils ne puissent pas désespérer, ni se perdre dans leurs péchés. De même, veillez à ne plus offenser, en vous rappelant combien il était coûteux et pénible de faire l'expiation.

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