4-16 Le langage pieux et aimable entre Boaz et ses moissonneurs montre qu'il y avait des personnes pieuses en Israël. Un tel langage est rarement entendu dans notre domaine; trop souvent, au contraire, ce qui est immoral et corrompu. Un étranger se formerait une opinion très différente de notre pays, de celle que Ruth formerait d'Israël à partir de l'inverse et de la conduite de Boaz et de ses moissonneurs. Mais la vraie religion apprendra à l'homme à se comporter correctement dans tous les états et conditions; il formera de bons maîtres et des serviteurs fidèles, et causera l'harmonie dans les familles. La vraie religion provoquera l'amour et la gentillesse mutuels parmi les personnes de rangs différents. Cela a eu ces effets sur Boaz et ses hommes. Quand il est venu vers eux, il a prié pour eux. Ils ne l'ont pas fait, dès qu'il a été hors de l'entendre, de le maudire, comme des serviteurs de mauvaise humeur qui détestent l'œil de leur maître, mais ils lui ont rendu sa courtoisie. Les choses vont probablement bien se passer là où il y a une telle bonne volonté entre les maîtres et les serviteurs. Ils ont exprimé leur gentillesse les uns envers les autres en priant les uns pour les autres. Boaz s'enquit de l'étranger qu'il avait vu et lui ordonna d'être bien traitée. Les Maîtres doivent veiller, non seulement à ne pas se blesser eux-mêmes, mais à ne pas laisser leurs serviteurs et leurs subordonnés faire du mal. Ruth se croyait humblement indigne de faveurs, voyant qu'elle était née et avait grandi païenne. C'est bien de nous tous de penser humblement à nous-mêmes, d'estimer les autres mieux que nous-mêmes. Et laissez-nous, dans la bonté de Boaz envers Ruth, notons la bonté du Seigneur Jésus-Christ envers les pauvres pécheurs.

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