On lui donna du vinaigre mêlé de fiel. — Par dérision, qu'il reçut et goûta, quoique nauséabond. Saint Marc mentionne aussi un autre mélange qui lui fut donné, du Vin mêlé de myrrhe : tel qu'il était d'usage de donner aux criminels mourants, pour les rendre moins sensibles à leurs souffrances : mais celui-ci refusa d'y goûter, se décidant à supporter le pleine force de ses douleurs.

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