12. Mais du Christ. Il commence maintenant à prouver la résurrection de nous tous à partir de celle du Christ. Car une inférence mutuelle et réciproque vaut d'un côté et de l'autre, à la fois affirmativement et négativement - du Christ à nous de cette manière: Si le Christ est ressuscité, alors nous nous élèverons - Si le Christ n'est pas ressuscité, alors nous ne ressusciterons pas - de nous au Christ par contre: Si nous nous élevons, alors le Christ est ressuscité - Si nous ne nous élevons pas, le Christ n'est pas non plus ressuscité. Le fondement de l'argument à tirer du Christ pour nous dans la première inférence est le suivant: «Christ n'est pas mort, ni ressuscité pour lui-même, mais pour nous: d'où sa résurrection est la fondation. (32) de la nôtre, et ce qui a été accompli en lui, doit être accompli en nous aussi. " Sous la forme négative, au contraire, il en est ainsi: «Sinon, il serait ressuscité inutilement et sans but, car le fruit en est à chercher, non pas en sa personne, mais en ses membres.»

Observez le travail de base, d'autre part, de l'ancienne inférence à déduire de nous à lui; car la résurrection n'est pas de la nature et ne vient d'aucun autre côté que du Christ seul. Car en Adam nous mourons et nous ne retrouvons la vie qu'en Christ; d'où il s'ensuit que sa résurrection est le fondement de la nôtre, de sorte que si que est enlevé, il ne peut pas supporter (33) Le travail de base de la classe négative l'inférence a déjà été énoncée; car comme il n'aurait pu ressusciter mais à cause de nous, sa résurrection serait nulle et non avenue, (34) si elle ne nous était d'aucun avantage.

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