5 Et si quelqu'un ne sait pas diriger sa propre maison (61) Cet argument, tiré du plus petit vers le plus grand, est en lui-même manifeste que celui qui est inapte à gouverner une famille sera totalement incapable de gouverner un peuple. Outre qu'il est évident qu'il est dépourvu des vertus nécessaires à cet effet, quelle autorité aura-t-il sur le peuple, vu que sa propre maison le rend méprisable?

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