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7. Et en un jour. Soit il veut dire le premier jour de la semaine, qui était le suivant après le sabbat, ou bien un certain sabbat. Quelle dernière chose peut me sembler plus probable; pour cette cause, car ce jour-là était plus apte à tout assemblage, selon l'usage. Mais voir qu'il n'est pas nouveau pour les évangélistes d'en mettre un à la place du premier, selon la coutume de la langue hébraïque, (Matthieu 28:1; Luc 24:1; Jean 20:1) il sera très bien d'accord, que le lendemain du sabbat, ils se sont réunis. De plus, il faisait trop froid pour expliquer cela d'un jour à l'autre. Car à quelle fin est-il question du sabbat, sauf pour qu'il puisse noter l'opportunité et le choix du moment? De plus, il est probable que Paul ait attendu le sabbat, afin que la veille de son départ, il puisse rassembler plus facilement tous les disciples en un seul endroit. Et le zèle de tous vaut la peine d'être noté, car ce n'était pas un problème pour Paul d'enseigner jusqu'à minuit, bien qu'il soit prêt à entreprendre son voyage, les autres ne se sont pas non plus lassés d'apprendre. Car il n'avait pas d'autre raison de continuer son discours si longtemps, si ce n'est le désir et l'attention de son auditif. -

Pour rompre le pain. Bien que la fraction du pain signifie parfois chez les Hébreux un banquet domestique, j'expose cependant la même chose de la Sainte Cène en ce lieu, étant ému de deux raisons. Pour voir que nous pouvons facilement comprendre par ce qui suit qu'il n'y avait pas de petite multitude réunie là-bas, il est peu probable qu'un souper puisse être préparé dans une maison privée. Encore une fois, Luc déclarera par la suite que Paul a pris du pain non pas à l'heure du souper, mais après minuit. A ceci est ajouté qu'il ne dit pas qu'il a pris de la viande pour manger, mais qu'il pourrait seulement goûter. Par conséquent, je pense ainsi, qu'ils avaient désigné un jour solennel pour la célébration de la Sainte Cène du Seigneur entre eux, ce qui pourrait être commode pour tous. Et jusqu'à la fin, Paul pourrait remédier après une sorte de silence de plus longue absence, il continue son discours plus longtemps qu'il n'avait l'habitude de le faire. Ce que j’ai dit du grand nombre d’hommes est rassemblé de là, parce qu’il y avait beaucoup de lumières dans la chambre haute, ce qui n’était pas fait pour quelque faste ou ostentation, mais seulement pour la nécessité. Car quand il n'y a pas de besoin, c'est l'ambition et la vanité qui font que les hommes donnent du prix. De plus, il était convenable que tout l'endroit entier brillât de lumières, de peur que la sainte compagnie ne soit soupçonnée de quelque méchanceté ou malhonnêteté. Ajoutez aussi une autre conjecture, si la chambre avait été vide, ceux qui étaient présents n'auraient pas laissé Eutychus s'asseoir sur une fenêtre. Car c'avait été une pure licence de mépriser - (403) la doctrine céleste de s'écarter par une fenêtre, car il y avait assez de place ailleurs. -

" Spernendae ac respuendae ," en méprisant et en rejetant.

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