Le verset suivant peut être lu comme exprimant le désir qu'il puisse marcher. Quoi qu'il en soit, nous retenons la lecture communément reçue, que David exulte à la pensée que son chemin devienne simple et facile, en conséquence de sa recherche diligente des préceptes de Dieu; c'est-à-dire pour marcher à l'aise Les manières des hommes sont souvent accidentées et obstruées, car ils y posent eux-mêmes diverses pierres d'achoppement ou s'enchevêtrent dans de nombreux enroulements inextricables. Par conséquent, il arrive que si personne ne se soumettra à la parole de Dieu comme règle, chaque homme endure la punition légitimement due à une telle arrogance. De tous côtés, Dieu nous pose des pièges, nous met des pièges sur notre chemin, nous fait tomber avec des chemins cassés et accidentés, et enfin nous enferme dans un gouffre sans fond: et à quel point un marché est plus politique, par tant de à plus forte raison il rencontrera des obstacles sur son chemin.

Ce verset nous enseigne que, si un homme cède implicitement à Dieu, il recevra cela comme sa récompense, qu'il marchera avec un esprit calme et posé; et s'il rencontre des difficultés, il trouvera les moyens de les surmonter. Les fidèles, si volontiers et soumis qu'ils se livrent à Dieu, peuvent se trouver impliqués dans la perplexité; néanmoins, la fin envisagée par Paul est accomplie, que bien qu'ils soient en difficulté et peinent, ils ne continuent pas dans une détresse irrémédiable, car c'est le devoir (pour ainsi dire) de Dieu de leur montrer une voie là où il semble pas moyen, (2 Corinthiens 4:8.) De plus, lorsqu'ils sont gravement opprimés, même alors ils marchent à l'aise, car ils confient à Dieu la question douteuse des événements de cette manière , qu'en l'ayant pour guide, ils ne doutent pas qu'ils sortiront hardiment des profondeurs de la détresse.

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