15. Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent, etc. Une vérité générale est à la troisième place stipulé, que les fidèles, se considérant avec une affection mutuelle, doivent considérer la condition des autres comme la leur. Il précise d'abord deux choses particulières: - Qu'ils devaient «se réjouir avec les joyeux et pleurer avec les pleurs». Car telle est la nature du véritable amour, qu'on préfère pleurer avec son frère, plutôt que de regarder à distance son chagrin, et de vivre dans le plaisir ou la facilité. Ce que l'on entend alors, c'est que nous devons, autant que possible, sympathiser les uns avec les autres, et que, quel que soit notre sort, chacun doit se transférer le sentiment de l'autre, que ce soit de chagrin dans l'adversité ou de joie. dans la prospérité. Et, sans doute, ne pas considérer avec joie le bonheur d'un frère, c'est l'envie; et ne pas pleurer pour ses malheurs est de l'inhumanité. Qu'il y ait entre nous une telle sympathie qui puisse en même temps nous adapter à toutes sortes de sentiments.

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