16. Mais si ce que je ne désire pas, je le fais, je consens à la loi, etc. ; c'est-à-dire: «Quand mon cœur acquiesce à la loi et se réjouit de sa justice, (ce qui est certainement le cas quand il en déteste la transgression), il perçoit et reconnaît alors la bonté de la loi, de sorte que nous sommes pleinement convaincu, l'expérience elle-même étant notre maître, qu'aucun mal ne doit être imputé à la loi; non, qu'elle serait salutaire aux hommes, si elle rencontrait des cœurs droits et purs. Mais ce consentement ne doit pas être compris comme étant le même que ce que nous avons entendu existe chez les impies, qui ont exprimé des paroles de ce genre: «Je vois mieux les choses et je les approuve; Je suis le pire. Encore une fois: «Ce qui est blessant, je suis; J'évite ce que je crois être rentable. » Car ceux-ci agissent sous une contrainte lorsqu'ils souscrivent à la justice de Dieu, comme leur volonté en est totalement aliénée, mais l'homme pieux consent à la loi avec le désir réel et le plus joyeux de son cœur; car il ne souhaite rien de plus que de monter au ciel. (224)

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