Mirth - Mieux, joie ou "joie" (comme dans Ecclésiaste 2:1) Le mot hébreu est appliqué non seulement aux plaisirs provenant des sens physiques, mais aussi fréquemment à la joie religieuse. Le sentiment de ce verset est une conclusion fréquente de l’expérience personnelle de l’écrivain (comparez les références marginales) et est injustement accusé d’épicurisme. Le prédicateur prend soin de présenter le plaisir comme un don de Dieu, à gagner par le travail, et reçu avec gratitude envers le donateur, et à lui rendre compte. Son estimation des plaisirs des sens est consignée dans Ecclésiaste 7:2.

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