Là, les justes pourraient se disputer avec lui - Celui qui est conscient de son intégrité pourrait y porter sa cause, avec l'assurance qu'il serait entendu et que la justice être fait lui. Il ne fait cependant aucun doute que Job se réfère ici à lui-même. il parle à la troisième personne et avance cela comme une proposition générale.

Je serai donc délivré pour toujours de mon juge - De celui qui me jugerait ou me condamnerait (משׁפטי mı̂shâphaṭı̂y). Il ne se réfère pas ici à «Dieu», comme s'il allait être délivré de lui, mais à quiconque tenterait de le juger et de le condamner, comme ses amis l'avaient fait. Le sens est que, ayant, comme il s'y attendait avec confiance, obtenir le verdict de Dieu en sa faveur, il serait à jamais libre de toute condamnation. La décision serait définitive. Il n'y avait pas de tribunal supérieur et personne n'oserait le condamner par la suite. Cela montre sa conscience d'intégrité. Cela peut s'appliquer à nous-mêmes - à tous. Si nous pouvons obtenir, au dernier jour, lorsque notre cause sera portée devant Dieu, le verdict divin en notre faveur, cela réglera la question pour toujours. Personne, après cela, ne nous condamnera; plus jamais notre caractère ou notre conduite ne seront mis en jugement. La décision divine de ce jour réglera la question pour toute l'éternité. Qu'il est donc capital que nous vivions de manière à être acquitté ce jour-là et à avoir «une condamnation éternelle» en notre faveur!

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