Le faucon vole-t-il par ta sagesse - L'appel ici est au faucon, car il est parmi les oiseaux les plus rapides dans son vol. La chose particulière spécifiée est son vol, et on suppose qu'il y avait quelque chose de spécial en cela qui le distinguait des autres oiseaux. Que ce soit en ce qui concerne sa vitesse, sa manière de voler, ou ses habitudes de vol à des saisons périodiques, peut en effet être une question d'enquête, mais il est clair que la chose particulière dans cet oiseau qui a été adapté pour dessiner l'attention, et qui manifestait surtout la sagesse de Dieu, était liée à son envol. Le mot rendu ici par «faucon» (נץ nêts) est probablement générique et inclut les diverses espèces de la tribu des faucons ou des faucons, comme le faucon-jet, l’autour des palombes , le moineau, le faucon, le lanner, le sacre, le passe-temps, le kestril et le merlin. Pas moins de cent cinquante espèces de faucon, dit-on, ont été décrites, mais beaucoup d'entre elles sont peu connues, et beaucoup d'entre elles ne diffèrent des autres que par de très légères distinctions.

Ce sont des rapaces et, comme beaucoup d'entre eux sont dotés d'une remarquable docilité, ils sont entraînés aux diversions de la fauconnerie - qui a été une véritable science chez les sportifs. Le faucon, ou faucon, se distingue souvent par sa légèreté. L'un, appartenant à un duc de Clèves, s'envola de Westphalie pour la Prusse en un jour; et dans le comté de Norfolk (Angleterre) on était connu pour faire un vol de près de trente milles en une heure. Un faucon ayant appartenu à Henri IV. de France, échappée de Fontainebleau, fut retrouvée vingt-quatre heures après à Malte, l'espace parcouru n'étant pas moins de mille trois cent cinquante milles; étant une vitesse d'environ cinquante-sept miles à l'heure, en supposant que l'oiseau était sur l'aile tout le temps. C'est cette vitesse remarquable qui est ici invoquée comme preuve de la sagesse divine. Dieu demande à Job s'il aurait pu former ces oiseaux pour leur vol rapide. La sagesse et l'habileté qui ont fait cela sont évidemment bien au-dessus de tout ce qui est possédé par l'homme.

Et étirez ses ailes vers le sud - Se référant au fait que l'oiseau est migrateur à certaines saisons de l'année. Ce n'est pas ici simplement la rapidité de son vol dont il est question, mais cet instinct remarquable qui conduit les tribus à plumes à rechercher des climats plus agréables à l'approche de l'hiver. Cela ne doit en aucun cas être pris en compte, sauf par le fait que Dieu l'a ainsi désigné. Cette grande loi des tribus ailées est l'une des preuves les plus claires de la sagesse et du libre arbitre divins.

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