Selon la loi Lévitique 25:25, si un Israélite, par la pauvreté, vendait sa possession, le plus proche parent (le גאל gā'al) avait le droit de le racheter en payant la valeur du nombre d'années restant jusqu'au jubilé (voir la référence marginale). Ce droit Boaz annonce le גאל gā'al de, afin de lui donner l'option que la loi lui a garantie de racheter la terre de «notre frère Elimelech», i. e. celle de notre parent, selon l'usage courant du terme frère, pour relation proche (voir Genèse 13:8; Genèse 24:27; Lévitique 25:25; Nombres 27:4; Juges 9:1).

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