Ceux qui sont guéris, c'est-à-dire les pharisiens, n'ont pas besoin d'un médecin, c'est-à - dire du Christ, mais ceux qui sont malades, c'est-à-dire les publicains et les pécheurs. Le dicton est ironique, car les pharisiens, voulant la charité, voulaient un médecin encore plus que les publicains.

Continue après la publicité
Continue après la publicité