C'est pourquoi que celui qui parle dans une langue inconnue de l'assemblée à laquelle il s'adresserait ; priez pour qu'il interprète Que Dieu lui fasse le don aussi d'exposer son discours, dans la langue commune du lieu, don ce distinct de l'autre. Car si je prie , &c. L'apôtre, comme il l'a fait en 1 Corinthiens 14:6 , le transfère à lui-même ; dans une langue inconnue ; sans faire usage d'aucune explication ; mon esprit prie en effet Par l'influence de l'Esprit de Dieu, je comprends les mots moi-même ; mais ma compréhension est infructueuseÀ savoir, aux autres; la connaissance que j'ai ne leur est d'aucune utilité ; et je fais une action dépourvue de cette prudence et de ce bon sens qui doivent toujours gouverner les personnes dans leurs adresses à Dieu, et je joue un rôle si puéril et si insensé que la raison d'un homme peut sembler alors m'avoir abandonné.

« Ceci », dit le Dr Doddridge, « je pense qu'une interprétation plus naturelle que celle qui suppose que l'apôtre suggère une pensée que les papistes exhortent à pallier l'absurdité d'offrir des prières dans une langue inconnue, à savoir : « il peut y avoir quelque de bonnes affections travaillant là où la personne qui prie ne comprend pas particulièrement ce qu'elle dit.' Mais cela rendrait presque impossible de concevoir comment on pourrait abuser du don des langues, si celui qui l'exerce était sous une impulsion si extraordinaire de l'Esprit, qu'il prononçait des paroles sensées qu'il ne comprenait pas lui-même ; auquel cas un homme doit être, dans le sens le plus extraordinaire qui puisse être conçu, le simple organe du Saint-Esprit lui-même.

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