Nous sommes des insensés dans le récit du monde, pour l'amour de Christ, parce que nous nous exposons à tant de dangers et de souffrances pour sa cause ; malfaiteur. Mais vous êtes sages en Christ. Bien que vous soyez chrétiens, vous vous croyez sages ; et vous avez trouvé le moyen de faire penser le monde aussi : ou, vous pensez avoir trouvé un moyen à la fois d'obtenir les bénédictions de l'Évangile et d'échapper à ses inconvénients et à ses persécutions. Nous sommes faibles en présence, dans les infirmités et dans les souffrances : mais vous êtes forts juste dans des circonstances opposées. Vous êtes honorableOrné de dons extraordinaires, dans lesquels vous êtes prêt à vous glorifier, et certains d'entre vous apparaissent dans des circonstances de distinction extérieure ; mais nous sommes méprisés Traités avec mépris partout où nous venons. Ou l'apôtre peut être considéré dans ce verset comme répétant ironiquement les choses que ses ennemis de Corinthe disaient de lui, et comme leur attribuant, dans le même esprit d'ironie, les qualités contraires.

Même jusqu'à cette heure présente Non seulement à notre première entrée sur notre bureau, quand tout le monde était opposé au christianisme, mais encore, bien que plusieurs milliers soient convertis ; nous avons à la fois faim et soif , &c. Sont dépourvus de nourriture et de vêtements nécessaires, et exposés à des besoins de toutes sortes. Qui peut imaginer un triomphe de la vérité plus glorieux que celui qui est remporté dans ces circonstances ? Quand Paul, avec un empêchement dans son discours, et une personne plutôt méprisable que gracieuse, est apparu dans une robe moyenne, peut-être en lambeaux, devant des personnes de la plus haute distinction, et pourtant a commandé une telle attention, et a fait des impressions si profondes sur eux ! Étant injurié, nous le bénissons, le souffrons, supplions Nous ne rendons pas les injures, la persécution, la diffamation; rien que de la bénédiction,Nous sommes faits comme la saleté du monde, et l'écume de toutes choses. Tels étaient ces malheureux parmi les païens, qu'on tirait de la lie du peuple pour être offerts en sacrifice expiatoire aux dieux infernaux. Ils étaient chargés de malédictions, d'affronts et de blessures, tout le chemin qu'ils allaient aux autels. Et lorsque les cendres de ces malheureux furent jetées à la mer, ces mêmes noms leur furent donnés lors de la cérémonie.

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