je chercherais Dieu, &c. Si j'étais dans ta condition, au lieu d'accuser les dispensations de la Divine Providence, et de me plaindre sous elles, je demanderais à Dieu, par une confession pleine et libre des péchés qui ont attiré sur moi cette triste calamité, et par un repentir sincère, l'humiliation, et la soumission à sa volonté : à Dieu, qui est capable de faire des merveilles, (comme il l'ajoute maintenant,) et qui peut et te rendra à ton ancien état heureux, s'il voit que tu es repenti pour tes transgressions passées, et tu as réformé ta conduite. Car c'est là tout l'objet de la partie suivante de son discours, à savoir, lui donner l'espoir d'un tour heureux de sa condition, s'il faisait ce qu'il croyait absolument nécessaire de faire dans ce cas ; confesser franchement les crimes qui lui avaient valu ce châtiment sévère.

Voir Peters et Dodd. Et à Dieu je remettrais ma cause Je me résignerais à lui et à tous mes soucis, et j'espère humblement être soulagé de sa part. Et que ma cause soit ce qu'elle serait, et que mon opinion à son sujet soit toujours aussi favorable, je la lui confierais entièrement, et le laisserais juger et décider.

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