À celui qui est affligé en hébreu, À celui qui est fondu ou dissous par les afflictions : ou, comme le dit le Dr Waterland, À celui qui dépérit ; la pitié doit être montré de son ami son ami, comme toi, Eliphas, prétends être à moi, doit faire preuve de bonté et de compassion dans son jugement de lui, et le comportement envers lui, et ne dépassent pas ces censures impitoyables sur lui comme tu l' as passé sur moi, ne l'accable pas d'opprobres ; mais il abandonne la crainte du Tout-PuissantTu n'as ni amour ni pitié pour ton ami ; une preuve évidente que tu es coupable de ce que tu m'as reproché, même du manque de crainte de Dieu. Le moins que peuvent faire ceux qui sont à l'aise pour ceux qui sont peinés, c'est de les plaindre, d'avoir pour eux une tendre sollicitude et de sympathiser avec eux.

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