Plus de bienveillance à la fin qu'au début Tant pour ton défunt mari, dont tu cherches à conserver le nom et le souvenir, et pour ta belle-mère, dont tu as ponctuellement obéi aux commandements. L'ancienne bonté que Ruth avait montrée à la famille de Boaz résidait dans son amour et sa fidélité envers son mari, et sa considération affectueuse envers sa belle-mère. Mais Boaz loue ici sa volonté de se marier avec lui, qui était avancé en âge, afin d'élever la postérité de son défunt mari, comme le plus grand exemple d'amour qu'elle ait donné ; d'autant plus qu'elle n'avait suivi de jeunes hommes ni parmi les Israélites, ni dans son propre pays, comme il l'indique qu'elle l'aurait fait si elle n'avait pas préféré l'obéissance au commandement de Dieu, avant de se plaire.

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