Car nous, étant nombreux, etc. — Ce verset est encore une preuve supplémentaire que la coupe de bénédiction,&c. n'est pas, comme certains le diraient, simplement une commémoration d'un bienfaiteur décédé ; mais une commémoration de la mort et de la passion du Christ. Dans ce verset, l'Apôtre fait allusion à la coutume juive de n'avoir qu'un seul pain à la Pâque, qui n'était pas divisé, jusqu'à ce qu'il devenir un seul corps : — Une juste inférence, selon l'idée que nous avons apposée sur ce rite ; car alors la communion du corps et du sang du Christ aide à unir les récepteurs spirituels et sincères en un seul corps, par une répartition égale d'un même bienfait ; ou, dans les mots élégants de la liturgie de l'église d'Angleterre, "Alors nous mangeons spirituellement la chair de Christ, et buvons son sang; alors nous demeurons en Christ, et Christ en nous; nous sommes un avec Christ,

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