Ce que Dieu a purifié, etc. — La seule proposition est : « Ce que Dieu a purifié n'est ni commun ni impur. Mais personne qui lit cette histoire, ne peut douter qu'elle ait ce double sens ; premièrement, que la distinction entre les viandes pures et impures devait être abolie ; deuxièmement, que les Gentils devaient être appelés dans l'église du Christ. Ici donc le vrai sens de ce passage n'est pas un, mais deux ; et pourtant l'intention ou le sens n'en est pas pour autant le moins obscurci, ni perdu, ni rendu inintelligible.

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