Et toute plante des champs, avant qu'elle ne fût sur la terre, c'est-à-dire que Dieu, lorsqu'il fit les cieux et la terre, fit aussi, par sa puissance immédiate, toute plante dans son état de perfection, avec sa semence en elle ; avant que les diverses plantes ainsi produites croissent et se multiplient selon la méthode naturelle et régulière par laquelle elles poussent et se multiplient maintenant ; et quelle méthode il choisit à cette fin, quand les choses furent régulièrement constituées, quand le soleil fut désigné pour briller, et le la pluie tombe sur la terre ; et l'homme fut formé pour cultiver la terre et ses produits.

Il en était encore autrement : les végétaux étaient créés et soutenus par son pouvoir s'exerçant d'une manière particulière : surtout en faisant sortir de la terre un brouillard, une vapeur ou une vapeur pour les arroser. L'écrivain sacré, en remarquant qu'il n'y avait pourtant pas d'homme pour cultiver la terre, ni de pluie pour l'arroser, toutes deux nécessaires à la production des végétaux, nous assure que les végétaux n'étaient pas, d'abord, produits selon la méthode ordinaire. .

Continue après la publicité
Continue après la publicité