Voyant donc qu'il reste, etc. — La difficulté ici est, comment paraît-il, d'après les passages cités, que quelqu'un devait entrer dans le repos de Dieu ? Que les enfants incrédules et désobéissants d'Israël ne devaient pas entrer en Canaan, le lieu de leur repos, apparaît, parce que Dieu avait déclaré que cette génération n'y entrerait pas. Mais d'où paraît-il que quelqu'un devait entrer dans ce repos éminemment ainsi appelé ? — Le raisonnement est le suivant : 1.

Il y a un tel repos de Dieu : cela est prouvé d'après ce que dit l'Écriture, Dieu s'est reposé le septième jour de toutes ses œuvres. 2. Ce repos dont il est question, et dans lequel les enfants d'Israël sont entrés, n'était pas ce repos de Dieu ; mais bien qu'on l'appelât son repos, il n'était pourtant pas conçu pour être une cessation de tout travail, mais seulement du travail dans le désert. Depuis lors, le repos de Dieu est resté sans possession, bien que Josué ait donné au peuple sous sa responsabilité la possession de Canaan, et nous sommes encore invités à entrer dans le repos de Dieu, il doit y avoir un tel état pour et pour le peuple de Dieu.

Au lieu de must enter, nous pouvons lire do enter ; et au lieu de ceux à qui elle fut d'abord prêchée, Doddridge et d'autres lisèrent, ceux à qui la bonne nouvelle fut d'abord annoncée ; comme dans Hébreux 4:2 .

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