Car Dieu a tant aimé le monde, — Notre-Seigneur assure ici Nicodème, que les hommes devaient le bonheur indicible dont il a été question dans le verset précédent, à l'amour libre et indicible de Dieu le Père, qui a désiré leur salut avec une telle ardeur, qu'il a envoyé son Fils unique pour donner la vie éternelle à ceux qui croient en lui avec persévérance ; il était loin de l'envoyer pour les condamner, comme il avait lieu de le craindre.

C'est l'un de ces passages brillants et touchants de l'évangile, qui brille trop fort pour admettre la moindre tentative d'illustration dans un commentateur. Lecteur! que votre âme et la mienne ressentent et expérimentent son énergie maintenant et pour toujours !

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