Celui qui a l'épouse est l'époux : « Je suis loin d'envier sa renommée croissante, ou le nombre de ses disciples, que je me réjouis beaucoup des deux ; tout comme l'ami de l'époux, qui est désigné pour se tenir debout et l'entendre converser avec sa fiancée, se réjouit de l'amour qu'elle lui exprime; dont l'amour l'ami se fait une idée de même, par ce qu'il entend, le fiancé lui dit en retour.

Ma plus grande joie est donc que les hommes soumettent joyeusement au Messie, et lui payer tous les honneurs dus. » Parmi les Juifs , il est souvent question , dans les cérémonies de mariage, de la Hhupha, un auvent ou le lieu où l'époux utilisé pour discourir familièrement avec la mariée, sous une couverture, comme moyen de se concilier son estime, ce qu'il n'était pas censé avoir fait jusqu'à ce qu'il soit sorti gaiement du Hhupha.

Cette coutume est conservée par les Juifs modernes, soit devant la synagogue, dans une place carrée couverte, soit, là où il n'y a pas de synagogue, ils jettent un vêtement sur le marié et la mariée. Pendant que le marié est engagé dans cette conférence avec la mariée, ses amis se tiennent à la porte ou à l'entrée ; et quand ils entendent la voix de joie de l'époux, signe de son succès, ils se réjouissent immédiatement et répandent l'heureuse nouvelle.

Ces circonstances paraissent éclairer le présent passage ; et comme l'idée d'un époux est plus d'une fois apposée sur notre Sauveur, et la dispensation évangélique comparée à un festin de noces, cette interprétation n'aura besoin d'aucune autre preuve pour l'établir.

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